


… Foujita a fait exception, il a su regarder avec ses propres yeux et peindre selon son tempérament, sans trop se soucier des autres. Il fut, à Paris, attiré plus par les perspectives que par les peintres et s’ingénia à décrire le petit paysage de faubourg et de banlieue avec une touchante minutie. »Sophie Krebs, commissaire de l’exposition et conservatrice générale du patrimoine au musée d’Art moderne de la Ville de Paris. »