Imaginez une convention d’un organisme de l’ONU dont les débats se tiennent à huis-clos, les participants escortés par des gardes armés, la presse exclue. Un bouillon de culture des plus opaques pour décider de l’autorisation de l’extraction des richesses minérales des grands fonds marins, riches d’une biodiversité prodigieuse, que l’homme
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