Il faut nuancer la mobilisation des entreprises en faveur du développement de l’usage des ressources renouvelables végétales. Celle-ci reste marginale et cantonnée aux efforts des acteurs historiques : les grandes coopératives agricoles (par ex. Vivescia et Sofiproteol en France), les papetiers (par ex. Tembec au Canada ou dans les Landes ou les papetiers d’Europe du Nord), les entreprises transformant traditionnellement l’amidon (Roquette Frères) ou la cellulose (Borregaard), les multinationales de collecte de céréales (Cargill), les entreprises de la chimie qui avaient déjà des produits biosourcés (Arkema avec ses polyamides à base d’huile de Ricin) ou les entreprises fournisseurs d’enzymes pour des process biotechs (Novozymes).







