Le mercredi 15 avril dernier, l’hémicycle de l’Assemblée nationale était presque vide. Y était pourtant débattu l’un des volets les plus sensibles de la Loi sur le Renseignement, celui concernant la surveillance de l’Internet par des « boîtes noires », les algorithmes. Ceux-ci auront pour tâche de surveiller automatiquement les milliards de données transitant sur le réseau afin de détecter massivement des comportements suspects correspondant à ce que l’on connaît des activités terroristes ou criminelles. Une boîte de Pandore est ainsi en train de s’ouvrir, sous nos yeux.
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