Dans notre monde en accélération, le vivant est en danger. Effondrement des espèces, dérèglement climatique, pollutions… Comment stopper la destruction de nos milieux de vie ?
L’urgence nous pousse à sortir de nos modes de production actuels qui hypothèquent l’avenir et ignorent les coûts payés par la nature. Et, déjà, des entrepreneurs, des financiers, des ingénieurs, des artistes ou des biohackers valorisent tout ce qui pousse et prolifère.
Dorothée Browaeys décrit ainsi un système industriel qui, nécessité oblige, adopte de nouvelles manières de compter, d’innover, de régénérer et d’investir. Elle raconte comment agroécologie, chimie verte, bioénergies et inventions bioinspirées font naître, partout, une nouvelle économie du vivant.
Voir l’article – interview de Dorothée Browaeys dans UP’ : Urgence du vivant : « La bioéconomie oblige les logiques libérales à se réformer ».
Dorothée Browaeys dirige TEK4life, qui coordonne les trois plateformes de dialogue sur les transitions sociotechniques NanoRESP, BioRESP et DigiRESP. Elle enseigne la concertation sur les controverses scientifiques à l’université Paris 7. Elle collabore à UP’Magazine, et a publié plusieurs ouvrages.
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