Quand on parle de nourritures et non de ressources, l’idée est d’insister sur la dimension de jouissance attachée au fait de vivre ». Corine Pelluchon – Les nourritures, 2015 (p. 349)(1)
Le monde est aliment et le fait de se nourrir témoigne d’un rapport original aux choses qui est un rapport de jouissance, où je ne mange pas pour vivre mais où manger, c’est vivre ». Corine Pelluchon – Les nourritures, 2015 (p. 39) (1)