The Dissident, webmag dédié à la liberté et mû par les valeurs défendues par Albert Camus dans son manifeste censuré du journalisme (lucidité, refus, ironie, obstination), vient d’arriver sur la Toile : the-dissident.eu
The Dissident a l’ambition d’être à l’écoute du monde, de ses mutations et de ses surgissements, et se fixe trois objectifs :
1. Donner la parole aux citoyen(ne)s du monde que l’on n’entend pas, peu ou plus.
2. Se faire l’écho de toutes les formes de dissidence, civile ou institutionnelle, pour peu qu’elles portent les valeurs universelles de l’humanisme.
3. Rompre radicalement et joyeusement avec les conformismes, les simulacres, les censures et tous les autres « maîtres-maux » de la médiacratie.
En résumé, éveiller et réveiller le monde, en complicité avec les lecteurs et parer à la lacune informationnelle globale. Ce pure player ne joue pas dans la cour des extrêmes et ne se veut pas « donneur de leçons », à l’image d’Annah Arendt : « Chacun de nous est porteur d’une singularité ».
Accroché à son indépendance comme la bernique à son rocher, The Dissident propose dans ses rubriques, Tout-Monde, The Street, Politique(s), World Voices,… une information libre, approfondie et décalée.
Tout à l’image de son fondateur et directeur de publication, Rémy Degoul, fondateur du Think-tank Europe Créative, administrateur de l’APCP- Association pour la création d’un Conseil de presse, ancien Administrateur du Fonds Européen pour la Liberté d’Expression, ancien président du COLISEE-Comité de Liaison pour la Solidarité avec l’Europe de l’Est.
L’édito de ce premier numéro donne le ton : « Est-ce ainsi que les hommes vivent ? », histoire de « relever la tête », et de « défendre et vivifier notre démocratie ».
Illustration ©Tony Gouarch