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Électricité en France : +86 % en 10 ans, un choc pour les foyers

En dix ans, le prix du kWh a grimpé de 0,15 € à 0,28 € en France, soit une hausse historique de +86 %. Longtemps protégée par son parc nucléaire, la France perd désormais son avantage compétitif et rejoint la moyenne européenne. Pour les ménages, la conséquence est immédiate : une facture d’électricité quasiment doublée, qui fragilise le budget au quotidien et interroge sur la soutenabilité du modèle énergétique français. Le récent rapport « Électricité en France : +86 % en 10 ans, un choc pour les foyers », publié par Papernest, éclaire les mécanismes — taxes, crises, marché européen et performance du parc nucléaire — derrière cette flambée tarifaire.

L’électricité est devenue un poste de dépense de plus en plus lourd dans le budget des ménages français. En dix ans, le prix du kWh a connu une envolée historique, conséquence de la transition énergétique, de la dépendance accrue au marché européen, de l’augmentation des taxes et des crises successives qui ont frappé le secteur. Une évolution qui interroge sur la soutenabilité pour les foyers et appelle à mieux comprendre les causes de cette flambée. Ce rapport intitulé « Électricité en France : +86 % en 10 ans, un choc pour les foyers » (1), réalisé par Papernest (2), met en lumière les grandes dynamiques tarifaires observées sur la dernière décennie. Il explique
la hausse historique de +86 % du prix du kWh en France entre 2013 (0,1524 €/kWh) et 2024 (0,2847 €/kWh), soit +496 € en moyenne par an pour un ménage ; la perte progressive de l’avantage compétitif français par rapport à la moyenne européenne, particulièrement visible depuis 2021. Il donne une lecture en “vagues tarifaires” : hausses contenues (2013–2016), modération trompeuse (2017–2020), flambée (2021–2023) et convergence (2024). Et enfin, il permet des comparaisons internationales permettant de comprendre pourquoi la France reste malgré tout mieux lotie que certains voisins.

Le choc des chiffres : +86 % en 10 ans

En 2013, le prix moyen de l’électricité pour les ménages était de 0,1524 €/kWh. Dix ans plus tard, en 2023, il atteint 0,23 €/kWh, avant de grimper encore à 0,2847 €/kWh en 2024. En une décennie, la facture a ainsi bondi de +86 %, marquant une hausse historique qui pèse lourdement sur le budget des foyers français.

France, 4e pays d’Europe où les prix ont le plus augmenté

Sur la dernière décennie, la France figure parmi les pays européens les plus touchés par la hausse du prix de l’électricité. Avec une envolée de +86 % en 10 ans, elle se hisse au 4e rang du classement européen.

Un classement révélateur

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Le graphique comparatif met en évidence le Top 5 des pays ayant subi les plus fortes augmentations : le Liechtenstein, Tchéquie (+101.13%), la Serbie (+91.84%), la France (+86.81%) et la Finlande (+84.92%).
Le graphique comparant l’évolution des prix de l’électricité en France et dans l’Union européenne montre une dynamique particulièrement marquante. Longtemps protégés par un parc nucléaire compétitif, les ménages français paient leur électricité nettement moins cher que la moyenne européenne : environ 0,15 €/kWh en 2013 contre 0,20 €/kWh dans l’UE. Mais cette avance s’est progressivement réduite, avant de disparaître totalement après 2021.

La crise énergétique, amplifiée par la guerre en Ukraine et la flambée des prix du gaz, a fortement fragilisé le marché français de l’électricité. À cela s’est ajoutée une sécheresse historique, réduisant la production hydroélectrique et aggravant la tension sur l’approvisionnement. En parallèle, le parc nucléaire français a connu de lourdes difficultés techniques : des problèmes de corrosion sous contrainte ont conduit à la mise à l’arrêt pour maintenance de près de 65 % des réacteurs à un moment critique.
Ces facteurs combinés ont entraîné une hausse brutale des prix de l’électricité en France, avec un rattrapage accéléré vis-à-vis de ses voisins européens. En 2024, les deux
courbes se rejoignent autour de 0,28 €/kWh : la France, quatrième pays d’Europe où les prix ont le plus augmenté en dix ans, a ainsi perdu son avantage historique et s’aligne désormais sur la moyenne européenne.

Une hausse en plusieurs vagues

2013–2016 : des hausses contenues et régulières

Entre 2013 et 2016, les prix de l’électricité en France ont progressé lentement, portés par l’inflation et le financement de la transition énergétique, notamment via la Contribution au service public de l’électricité (CSPE). L’inflation générale sur les salaires, les équipements et les coûts de maintenance a également joué un rôle dans cette progression régulière, même si les coûts de production nucléaire restaient stables. Pendant cette période, le parc nucléaire fonctionnait à pleine capacité, garantissant à la France un avantage compétitif significatif par rapport à la moyenne européenne. Les écarts restent donc clairement en faveur de la France, qui se maintient en dessous des prix moyens de l’UE.

2017–2020 : une modération trompeuse

Entre 2017 et 2020, les prix semblaient se stabiliser, avec des hausses moins marquées que dans d’autres pays européens. Toutefois, cette apparente modération masquait
des fragilités structurelles profondément ancrées.
● D’une part, le dispositif ARENH (Accès régulé à l’électricité nucléaire historique), instauré dès 2011 par la loi NOME de 2010, obligeait EDF à vendre une partie
significative de son électricité nucléaire à ses concurrents, à un tarif régulé historiquement avantageux (environ 42 €/MWh pour un volume plafonné à 100 TWh/an). Ce mécanisme, loin d’être neuf, était une condition de la concurrence continuelle.
● D’autre part, la prolongation du parc nucléaire via le programme Grand Carénage (programme visant à étendre la durée de vie des centrales au-delà de 40 ans par des
opérations lourdes de maintenance et de renforcement) illustrait la vulnérabilité d’un parc vieillissant nécessitant des arrêts fréquents, aux coûts élevés et exposé aux
retards techniques.

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2021-2023  : la flambée historique

La période 2021–2023 marque un tournant brutal avec une flambée historique des prix. La guerre en Ukraine a provoqué une crise énergétique en Europe, faisant exploser les prix de gros. En France, la situation a été aggravée par la corrosion sous contrainte de plusieurs réacteurs nucléaires, entraînant des arrêts massifs et une production nucléaire au plus bas depuis trente ans (279 TWh en 2022, soit –82 TWh par rapport à 2021). EDF a dû acheter de l’électricité sur les marchés européens à prix fort, répercutant la hausse sur les tarifs domestiques.
Cependant, grâce au bouclier tarifaire, la hausse des prix a été fortement limitée pour les ménages ayant souscrit le tarif réglementé de vente (TRV), avec une augmentation contenue à environ 15 % maximum, contre une flambée bien plus marquée sur les marchés européens.

La courbe des prix français a alors présenté une pente beaucoup plus raide que celle de la moyenne européenne, et la France a perdu son avantage historique.

2024 : convergence avec la moyenne européenne

En 2024, les prix français convergent vers la moyenne européenne, autour de 0,28€/kWh. La remise en service progressive des réacteurs nucléaires améliore
l’approvisionnement, EDF visant une production comprise entre 358 et 364 TWh. Toutefois, la facture des ménages reste élevée, car les coûts du parc nucléaire et les prix de marché sont désormais pleinement intégrés dans les tarifs. La France se retrouve ainsi alignée sur la moyenne européenne, perdant définitivement son statut d’« électricité moins chère ».

L’évolution des prix de l’électricité en France se lit en plusieurs vagues : une hausse lente entre 2013 et 2016, une modération apparente entre 2017 et 2020 masquant des
fragilités, une flambée spectaculaire entre 2021 et 2023, et enfin une convergence vers la moyenne européenne en 2024, mettant fin à l’avantage compétitif historique du pays.

L’impact concret sur les ménages

La hausse de +86 % du prix de l’électricité en dix ans n’est pas qu’un indicateur macroéconomique : elle pèse directement sur le budget des foyers. Sur la période,
l’augmentation représente en moyenne 496 € de plus sur 10 ans, soit environ +41 € chaque mois pendant 10 ans pour un ménage type :

Prenons l’exemple d’un foyer moyen avec une consommation d’électricité situé entre 2000 kW et 5000KW (moyenne de l’institution Eurostats) :
● En 2013, sa facture annuelle d’électricité s’élevait à environ 576 €.
● En 2023, elle atteint désormais 1 072 €, soit près du double.

Conclusion – Chiffres clés sur l’électricité en France (2013‐2024)

● +86 % : augmentation du prix moyen du kWh en 10 ans, passant de 0,1524 €/kWh (2013) à 0,2847 €/kWh (2024).
● France 4e pays d’Europe : parmi les plus touchés par la hausse des prix sur la dernière décennie.
● Facture annuelle moyenne d’un foyer :
– 2013 : 576 €
– 2023 : 1 072 €, soit près du double (+496 € sur 10 ans).
● Impact direct sur les ménages : forte pression sur le budget, nécessitant une optimisation des contrats d’énergie.

Le rapport ne se contente pas d’aligner des chiffres : il permet de mettre en évidence une transformation profonde du paysage énergétique français. La première leçon est claire : l’exception française a vécu. Longtemps protégés par l’abondance et la compétitivité de leur parc nucléaire, les ménages bénéficiaient d’une électricité sensiblement moins chère que leurs voisins européens. Mais cette avance s’est progressivement effacée, au point que la France a désormais perdu son avantage compétitif et s’aligne sur la moyenne de l’Union européenne. Cette évolution révèle une vulnérabilité nouvelle : l’électricité française est désormais exposée aux mêmes aléas que partout ailleurs, qu’il s’agisse de sécheresses limitant l’hydroélectricité, de difficultés techniques dans le parc nucléaire, ou encore des crises géopolitiques qui font flamber le gaz et donc les prix de gros.

La dynamique observée au fil de la décennie illustre aussi la montée d’une incertitude structurelle. Après des années de hausses contenues, puis une phase de relative stabilité, la flambée de 2021-2023 a marqué un tournant brutal. Depuis, même si la remise en service progressive des réacteurs laisse espérer une accalmie, l’idée d’une électricité durablement bon marché en France appartient au passé. La volatilité devient la norme : les prix peuvent connaître des phases de repli, mais de nouvelles flambées restent toujours possibles. En 2025, comme pour les années à venir, la situation demeure donc fragile, car le parc nucléaire vieillit, les investissements nécessaires sont coûteux et la dépendance aux marchés européens reste incontournable.

Dans ce contexte, les ménages voient leur facture peser lourdement sur leur budget, non seulement parce qu’elle a presque doublé en dix ans, mais aussi parce qu’elle devient imprévisible. Pour y faire face, plusieurs leviers existent. La première étape consiste à optimiser son contrat d’électricité, en comparant régulièrement les offres et en ajustant ses options tarifaires, par exemple en choisissant les heures creuses. Mais la véritable marge de manœuvre se joue du côté de la consommation : isolation du logement, équipements plus sobres, pilotage intelligent des usages, autant de solutions qui permettent de réduire la dépendance à des prix instables.

L’autoconsommation, grâce au solaire ou à des systèmes thermodynamiques, représente également une voie d’avenir, encore coûteuse mais de plus en plus accessible. Enfin, il s’agit pour les foyers d’intégrer cette nouvelle donne dans leur gestion budgétaire, en anticipant que l’électricité sera durablement un poste de dépense en tension, et en recourant si nécessaire aux dispositifs de soutien publics tels que le chèque énergie.

Ce rapport souligne que la hausse de +86 % du prix de l’électricité n’est pas un simple accident lié aux crises récentes, mais bien le signe d’un changement de paradigme. La France entre dans une ère d’énergie chère et instable, qui oblige les ménages à repenser leur consommation et à ajuster leur budget, tout en posant des questions de soutenabilité sociale pour les années à venir.

Quels tarifs pour 2026 ?

On en sait assez pour dire qu’une hausse du prix de l’électricité en France en 2026 est probable — mais elle dépendra fortement de plusieurs paramètres encore incertains à ce jour. Néanmoins certaines analyses actuelles permettent de prévoir, avec les facteurs de risque, ce qu’on peut raisonnablement anticiper. D’autant que depuis le 1ᵉʳ août 2025, le taux de TVA appliqué sur la part abonnement de la facture d’électricité passe de 5,5 % à 20 %

Ce que suggèrent les indicateurs

Plusieurs institutions et associations pointent vers une augmentation des coûts :

  • L’UFC-Que Choisir anticipe une hausse moyenne de l’ordre de +19 % des factures d’électricité pour les ménages liée à la réforme du mode de calcul des tarifs.
  • On prévoit aussi que l’ARENH, le mécanisme qui permettait d’acheter une part de l’électricité nucléaire à un tarif régulé (42 €/MWh), sera remplacé ou révisé à partir de 2026. Cela pourrait entraîner une augmentation des coûts pour les consommateurs puisque le nouveau mécanisme serait plus exposé aux prix de marché.
  • Les charges publiques de service de l’énergie, notamment les soutiens aux renouvelables et à la cogénération, devraient augmenter en 2026. Par exemple, la Commission de régulation de l’énergie (CRE) prévoit que ces charges devraient passer de ~ 6,9 milliards € en 2025 à ~ 8,3 milliards € en 2026 pour certaines catégories.
  • Le nouveau tarif d’utilisation des réseaux publics de l’électricité (TURPE), dans sa version 7 (pendant 2025-2028), prévoit des ajustements qui peuvent peser sur les coûts que les consommateurs paient.

Les sources d’incertitude

Mais les prévisions ne sont pas fermes, car plusieurs éléments pourraient moduler fortement l’impact :

  • Prix des marchés de gros : si les prix de l’électricité sur les marchés internationaux ou de gros baissent (via un moindre coût du gaz, par exemple, ou une météo favorable pour renouvelables/hydroélectricité), cela pourrait atténuer la hausse.
  • Capacité du parc nucléaire et sa disponibilité : les arrêts de réacteurs pour maintenance ou réparation, les aléas techniques (corrosion, etc.), les délais pour remettre certains réacteurs en service, pourront jouer un rôle déterminant.
  • Politiques publiques & régulation : le niveau des taxes, des subventions, des mécanismes de protection (plancher/plafond), les décisions gouvernementales sur le nouveau mode de tarification ou de reversement impacteront fortement ce que paient les ménages.
  • Inflation et coût des intrants : coût du combustible (y compris uranium), des matières premières, maintenance, main d’œuvre… tous ces coûts affectent le coût de production et de livraison de l’électricité.

Ce qu’on peut raisonnablement anticiper pour 2026

À la lumière de ces éléments disponibles, on peut s’attendre à une hausse modérée à substantielle pour la plupart des ménages, sauf si des mesures compensatoires significatives sont prises. Selon les scénarios, cela pourrait être autour de +10-20 % (voire davantage) si plusieurs facteurs de coût montent ensemble. Pour certains profils de consommation élevés ou exposés (forte puissance de compteur, usage intensif, offres de marché non régulées), la hausse pourrait être plus pénalisante. Pour d’autres ménages plus modestes, ou ceux bénéficiant de contrats avantageux ou de protections réglementaires, l’effet pourrait être plus contenu — voire neutralisé, partiellement, par des mesures publiques ou des baisses sur certains postes.

Il est donc fort probable que le prix de l’électricité augmentera en 2026 en France, mais l’ampleur de cette hausse dépendra de nombreux choix politiques, de l’évolution des marchés de l’énergie et de la performance opérationnelle du système électro-nucléaire et des renouvelables. 

(1) Rapport élaboré par Garance de Ligniville, de l’équipe d’analyse de Papernest France, à partir de données publiques actualisées en août 2025. Rapport finalisé le 3 septembre 2025
Sources : ADEME, Ministère de la Transition Écologique, Eurostat, INSEE, presse spécialisée, calculs Papernest
“ Les prix présentés correspondent aux prix moyens annuels nationaux de l’électricité, exprimés en euros par kWh. Ils intègrent l’ensemble des composantes facturées : coûts de l’énergie, de la fourniture et du réseau, ainsi que la TVA et les autres taxes.”

(2) papernest est une solution intelligente qui permet aux particuliers de centraliser et de simplifier la gestion de leurs contrats d’énergie et d’autres services, comme l’électricité, le gaz ou les services associés. La plateforme, 100 % gratuite, aide à optimiser le budget énergétique, à choisir les meilleures offres et fournisseurs, et à gagner du temps dans toutes les démarches administratives. Une fois que l’utilisateur fournit ses informations, papernest propose les offres les plus adaptées et se charge de toutes les étapes : de la souscription à la résiliation auprès des fournisseurs, avec un suivi continu des contrats, de manière rapide, simple et entièrement en ligne ou par téléphone.

Pour aller plus loin :

Image d’en-tête : Getty images

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