Chronique impatiente de la mobilité quotidienne, d’Olivier Razemon
Edition Rue de l’échiquier, janvier 2019 – 224 Pages
L’impatience passe pour un vilain défaut. Pour le chroniqueur, ce serait plutôt une vertu, et même un allié. L’impatience aiguise en effet l’observation et stimule la réflexion. Lorsqu’on se déplace, on a le droit d’être impatient […] L’impatience conduit à relever les incohérences des politiques publiques […] Observer les transports c’est également considérer la ville, ses multiples facettes, son fonctionnement, ses atouts secrets. Enfin, la sélection ne serait pas complète sans la figuration de quelques panneaux de signalisation, médias bien plus éloquents qu’on imagine. »