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Un antidote pour l’agriculture et la reforestation, face au dérèglement climatique

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Alors que les scientifiques du GIEC ont alerté sur l’accélération du réchauffement climatique, l’Union africaine et 11 pays du continent se sont lancés dans un projet titanesque : la Grande Muraille Verte de Dakar à Djibouti. L’objectif est de stopper la désertification du Sahel en restaurant 100 millions d’hectares de terres dégradées. Lancée en 2005, cette initiative devrait prendre enfin de l’ampleur dans les années qui viennent. En effet, lors de la COP26 à Glasgow, le FVC (Fonds Vert pour le Climat) et le FIDA (Fonds International de Développement Agricole) ont promis de financer ce rideau de verdure à hauteur de 143,2 millions de dollars d’ici 2025. Mais concrètement, comment réussir à restaurer ces terres arides qui s’étendent sur une bande de plus de 8000 kilomètres de long et d’une quinzaine de kilomètres de large ?

Le défi est de taille : recréer une nouvelle forêt et l’étendre, en la faisant courir, telle une grande coulée verte, au travers de tout le continent africain. Un long bandeau vert de 15 km de large reliant Dakar à Djibouti, soit plus de 7000 km de végétation pour freiner le désert. Onze pays d’Afrique se sont rassemblés en 2004 et ont décidé ensemble de relever ce défi, en créant l’Agence Panafricaine de la Grande Muraille Verte.

Les arbres mettent beaucoup de temps à pousser… or, aujourd’hui, face à la situation d’urgence, il faut aller encore plus vite. Au vu des enjeux, l’Afrique ne peut plus se permettre d’attendre : il s’agit de préserver la paix, d’éviter la famine en facilitant la production de nourriture, et la création d’emplois.
Il s’agit de redynamiser une économie liée à l’environnement grâce à un nouveau concept s’inscrivant dans de nombreux programmes de restructuration d’écosystèmes. Il permet, en s’appuyant sur des modèles économiques innovants tout en respectant les us et coutumes locales, de relancer des pratiques agro-pastorales jusqu’alors peu rentables. Les cultures fourragères de Maralfalfa localisées à haut rendement et haute valeur nutritive, apportent une activité de transformation (broyage, ensilage et ensachage). L’autonomisation financière des populations et la stabulation des troupeaux ovins, bovins et caprins, limite ainsi l’errance sur des territoires, lieu de nombreux conflits inter-ethniques ou frontaliers.
De plus, un partenariat s’instaure entre les éleveurs et les agriculteurs, amenant le rebus de leur récolte. En fournissant une alimentation riche et équilibrée, le cheptel s’agrandit, et la production laitière et de viande est optimisée en quantité et qualité.

D’où l’intérêt de la technologie Polyter. Fiable, éco-responsable, durable et rentable, elle a démontré son efficacité et son efficience depuis plus de 25 ans sur l’ensemble des continents. Testée, validée et homologuée en agroforesterie, elle offre une approche holistique aux problématiques du monde végétal. Avec à la clé des résultats bluffants, pérennes et durables : le cycle de développement des plantes est accéléré de 1,5 à 3 fois, tout en réduisant la consommation d’eau et d’engrais.

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Repousser le désert, un challenge désormais à la portée de tous

En 30 ans, de Dakar à Djibouti, le désert du Sahara a avancé de 400 kilomètres. A titre de comparaison, cela représente l’équivalent de quatre fois la superficie de la France.
Cette catastrophe écologique, aux causes multiples (surpopulation, surpâturage et coupe pour le combustible), provoque non seulement une déforestation massive, mais entraîne aussi des tensions économiques et sociales.

Dans ce contexte, pour enrayer la progression des sables dans ces régions, où les conflits se multiplient, il existe une solution : planter différentes variétés d’acacias et d’autres variétés d’arbres. Le but est de capturer l’azote de l’air pour enrichir les sols naturellement et ainsi bonifier le travail paysan. Les arbres, en stabilisant et nourrissant les sols, récréent un microclimat et autorisent la mise en place de programmes agricoles.

Polyter permet de relever ces défis et et de répondre à l’urgence de résultats concrets sur un plan agronomique et environnemental. Il s’agit en effet du seul hydrofertilisant capable d’apporter aux plantes, eau et engrais en fonction de leurs propres besoins.

Philippe Ouaki di Giorno, le fondateur, souligne :« Polyter apporte la garantie de réussir des programmes d’ampleur : cette technologie assure une reprise quasi-totale de ces plantations d’arbres avec un ratio inégalé de près de 100%. Elle accélère aussi leur cycle de croissance jusqu’à 3 fois suivant les variétés. »

Un puits et un garde-manger permanent pour les plantes

Présenté sous la forme de granulés, le concept va absorber l’eau de façon spectaculaire (jusqu’à 300 fois son poids sec initial). Les plantes et les arbres vont donc avoir à disposition toutes les ressources dont ils ont besoin pour un bon démarrage puis croître rapidement et se développer harmonieusement.

Une croissance qui est aussi optimisée par la particularité de cet hydrofertilisant : il baisse la température du sol pour supprimer toute source de stress. Les végétaux poussent ainsi beaucoup plus vite. De plus, à l’intérieur de Polyter, un engrais spécifique optimise le développement de la masse racinaire.

Avec, en prime, une innovation notable :« Les racines se greffent naturellement à Polyter, puisqu’il est pratiquement organique, il devient donc partie intégrante de la plante.  Cela permet d’atteindre des rendements qualitatifs inégalés : de 50 à 300% selon les cultures. »

Une technologie éprouvée

Cet hydrofertilisat est utilisé avec succès depuis près de 30 ans dans plus de 70 pays partout dans le monde, dans les zones arides et semi-désertiques (Sénégal, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Namibie, Maroc…), ou, dans des programmes de prestige comme le Festival des Fleurs de Disneyland Paris (France) et Jumeirah Palm Islands Al Nakheel Properties à Dubaï (E.A.U.).

Pour s’adapter à tous les besoins et permettre de concrétiser tous les projets de végétalisation, Polyter propose tout un écosystème d’innovations :

Pour lutter contre la désinformation et privilégier les analyses qui décryptent l’actualité, rejoignez le cercle des lecteurs abonnés de UP’

  • SkyVerde : Support végétal permettant la réalisation de toitures végétalisées avec la plus grande gamme végétale possible en créant la biodiversité et un microclimat.
  • PolyTurba : Base à mélanger à un sol inerte tel que sable et cailloux permettant la création d’aménagements paysagers dans des lieux improbables comme sur Palm Island à Dubaï.
  • PolyterFix : Technologie agissant sur le changement de la structure moléculaire de l’eau afin qu’elle ne soit plus gravitaire, donc verticale, mais avec un écoulement horizontal, et ainsi faire de grandes économies des apports en eau des cultures.

La pénurie d’eau, et non pas le manque de terre, constituera dans les années à venir la principale contrainte pesant sur l’Agriculture, 70% de toute l’eau utilisée chaque année dans le monde va à l’irrigation qui produit de 30 à 40% des récoltes mondiales sur 17% de la totalité des terres arables. Cette nouvelle pratique de gestion économe du patrimoine hydrique participe à des projets intégrés de développement durable et de protection de l’environnement, incluant une démarche social et économique.

Le monde souffre de conflits sanglants à cause de la rareté de l’eau dans certaines régions. Grâce à ses économies d’eau impressionnantes, ce concept yient comme une réponse à ces problématiques pour une meilleure gestion hydrique, pour garantir la sécurité alimentaire. La technologie a été créée pour redonner du sens et de la valeur au travail des agriculteurs. Utilisée depuis 20 ans et ce, dans plus de 70 pays aujourd’hui, il est certainement une des réponses et solutions, a­fin de garantir, sécurité alimentaire et indépendance économique en Afrique.

L’action « La Grande Muraille Verte » a été retenue par l’UNESCO comme exemple emblématique de l’éducation au développement durable parmi une dizaine de projets valorisés à travers le monde.

Découvrir le programme « UNESCO Green Citizens »

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