Je me suis rendu compte du rapport direct qui existe entre la dégradation majeure infligée à un écosystème local et la violation des droits humains d’une population qui en dépend pour sa survie directe. »
Depuis le début des années 2010, la CPI ne cesse d’être saisie de ce type de cas mêlant destruction de la nature et violation des droits humains. »
Les victimes de destruction de leur milieu environnemental par des acteurs économiques ont peu de juridictions auxquelles s’adresser pour obtenir la qualification de ce crime. »
En s’appuyant sur le cadre scientifique des ‘‘limites planétaires’’, on peut demander l’intégration du crime ‘‘d’écocide’’ comme 5ème crime connu par la CPI. »
Valérie Cabanes : Un nouveau droit pour la Terre ?
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