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Energy Observer met le cap sur les énergies du futur

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Naviguer à travers le monde en totale autonomie énergétique et sans émission de gaz à effet de serre ni de particules fines, c’est le défi que va relever toute l’équipe d’Energy Observer dès 2017. Propulsé aux énergies renouvelables et à l’hydrogène, grâce à la mixité énergétique, Energy Observer s’élancera de Paris pour un tour du monde inédit au service de la transition énergétique.
 
« Energy Observer est plus qu’un bateau, c’est un démonstrateur et un capteur de solutions. Il dessine un futur déjà présent. Un projet évolutif au long cours qui veut créer une vague d’énergies positives. Je me reconnais dans l’état d’esprit de l’équipe qui est résolument tournée non plus vers un constat mais vers l’innovation. »
Nicolas Hulot, Président de la Fondation pour la Nature et l’Homme.

6 ans, 50 pays, 101 escales et des challenges

Six ans de navigation sans une goutte de carburant fossile, 101 escales à travers le monde prévues entre 2017 et 2022 dans les capitales maritimes, les ports historiques, les réserves naturelles ou lors de grands événements internationaux… Cette odyssée à bord d’un laboratoire flottant en milieu extrême est incarnée par Victorien Erussard, coureur au large et officier de marine marchande, et Jérôme Delafosse, explorateur et réalisateur de documentaires.
« L’idée, c’est d’éduquer, de sensibiliser, d’aller à la rencontre des gens qui oeuvrent à la préservation de l’environnement », a précisé Victorien Erussard. L’expédition participera à de grands événements internationaux sur le thème du développement durable, visitera des endroits exemplaires ou au contraire problématiques (écosystèmes ou sites de l’Unesco menacés).

 
Au printemps 2017, Energy Observer quittera Saint-Malo, son port d’attache, et les cinquante personnes qui travaillent jour et nuit sur le bateau écologique, pour Paris. Le catamaran initiera alors son tour de France qui se terminera à Monaco, avant de traverser les océans du monde entier. Dès lors, le navire et son équipage accompliront une double mission : éprouver puis optimiser les innovations technologiques embarquées pour les rendre applicables, mais aussi partir à la rencontre de ceux qui s’engagent aujourd’hui, pour dessiner le monde de demain. Décideurs, start-ups, collectivités, citoyens… Aux quatre coins de la planète, des hommes et des femmes se mobilisent pour un futur plus propre.
 
 
Selon Victorien Erussard, coureur au large, officier de marine marchande et capitaine, président d’Energy Observer, « Il n’y a pas une solution miracle pour lutter contre le réchauffement climatique : il y a des solutions, que nous devons apprendre à faire fonctionner entre elles. Et c’est ce que nous faisons avec Energy Observer : faire collaborer les énergies de la nature, mais aussi de notre société, en réunissant autour de ce bateau, les savoir-faire des entreprises, des laboratoires, des start-ups et des institutions ».

Les leaders de l’expédition

Victorien Erussard
Victorien est né à Saint-Malo, l’année qui a suivi la première Route du Rhum. 26 ans plus tard, il était sur la ligne de départ de cette course mythique, à bord du trimaran Laiterie de Saint-Malo. C’est sa toute première course au large en solitaire, à bord d’un ancien trimaran 60 pieds qu’il aura lui-même remis au goût du jour, à force de volonté et de quelques coups de meuleuse… Alors qu’il n’avait jamais passé une seule nuit en mer avant cette traversée, il finira sur le podium. Tout en se dotant d’un palmarès remarquable, Victorien achève ses études d’officier polyvalent de marine marchande pour approfondir sa connaissance de la mer. En 2007, il court sa première Transat Jacques Vabre, aux côtés de Frédéric Dahirel avec qui il arrivera deuxième. À partir de 2011, Victorien décide de mettre son goût pour la compétition et son appétit du défi au service de la lutte contre la sclérose en plaques. Pour cela, il monte de toutes pièces le Défi Voile Solidaires en Peloton au profit de la Fondation ARSEP, avec son ami Thibaut Vauchel-Camus. Cela les mènera au titre de vainqueur du championnat de Class 40, ainsi qu’à une quatrième place pour sa quatrième Transat Jacques Vabre en 2015. L’envie de servir une cause prend finalement le pas sur le frisson de la compétition. C’est pourquoi il accepte dès 2013 de rejoindre Frédéric Dahirel dans la construction d’un catamaran électro-éolien, qui deviendra le premier navire autonome propulsé grâce aux énergies du futur.
Victorien, c’est :
· 10 années de course au large · 1 Route du Rhum · 4 Transat Jacques Vabre · 3 podiums sur 6 transatlantiques · 3 titres de champion de France en F18 · 2 Transat Québec – Saint-Malo… dont une sans safran · 1 année d’expédition dans le pôle Sud · 80 partenaires réunis autour du Défi Voile Solidaires En Peloton.
Jérôme Delafosse
 
Tout commence à Saint-Malo pour Jérôme. Des heures passées à naviguer, à plonger et surtout à s’inspirer des grands aventuriers, des explorateurs et des corsaires. À douze ans, il découvre les films de l’équipe Cousteau… C’est la révélation. Quand il sera grand, il explorera les océans. Scaphandrier professionnel, photographe de presse et d’expéditions, réalisateur de documentaires et auteur de romans vendus à travers le monde, Jérôme participe aux fouilles archéologiques du palais englouti de Cléopâtre en Alexandrie et plonge sans cage avec les grands requins blancs d’Afrique du Sud, ou encore à 1 000 mètres en sous-marin pour filmer les abysses. En 2006, il devient l’un des visages emblématiques des Nouveaux Explorateurs, sur Canal+ et Travel Channel, émission pour laquelle il parcourt les océans et les fleuves mythiques, et part à la rencontre des peuples de l’eau afin de faire découvrir des cultures et sensibiliser le public aux questions environnementales. Après avoir accompli son rêve d’enfant, Jérôme veut devenir acteur à part entière de la prise de conscience de la nécessité de protéger les océans. Il s’y consacre exclusivement aujourd’hui, d’abord avec Les Requins de la Colère, documentaire évènement sur la sauvegarde des requins, diffusée en prime time sur Canal+. En 2015, il rejoint l’équipe d’Energy Observer, bateau révolutionnaire qui permet d’explorer le monde tout en le préservant. Parcourir la planète, participer à sa protection, et proposer des solutions optimistes et concrètes, voici son nouveau défi.
Jérôme, c’est :
· 23 ans d’exploration des océans · 20 000 heures sous les mers · 10 ans d’antenne sur Canal+ · 1 palais englouti de Cléopâtre découvert · 2 042 jours de tournage · 800 plongées avec les requins · 1 000 mètres à bord d’un sous-marin · 62 pays visités · 2 romans et 500 000 exemplaires vendus

Des parrains trés engagés

Un homme et une femme,… L’un habitué au feu des projecteurs, l’autre à l’ombre des laboratoires… Ils s’engagent pour Energy Observer. Florence Lambert, directrice du CEA-LITEN, et Nicolas Hulot, président de la Fondation pour la Nature et l’Homme, sont les parrains du bateau. Une double légitimité médiatique et scientifique chère à l’équipe d’Energy Observer.
 
 
 
 
 
 
 
 
Nicolas Hulot et Victorien Erussard se connaissent depuis 2005. Alors qu’il prépare la Route du Rhum, le jeune navigateur croise Nicolas au volant de sa voiture à Saint-Malo. Il tape à la vitre : «Je peux vous déranger deux minutes ? » se souvient Nicolas. C’est le début d’une longue amitié, au cours de laquelle Nicolas parraine tous les bateaux de Victorien, et court plusieurs Raids en catamaran avec le jeune navigateur. Inévitablement, cette relation et les messages portés par Nicolas ont beaucoup inspiré Victorien, jusqu’à son nouveau défi : Energy Observer. Très impliqué, Nicolas Hulot suit le projet de près, et y apporte toute son expérience et son soutien ainsi que le concours de son équipe. En effet, la Fondation Nicolas Hulot a attribué à Energy Observer un coup de coeur 2016 et apporte régulièrement un soutien bienveillant au projet et à son équipe.

 
La rencontre avec Florence Lambert se fait à Grenoble lors d’une visite du CEA en 2015. Immédiatement, l’innovation et l’excellence portées par les ingénieurs du CEA-LITEN convainquent l’équipe d’Energy Observer, qui leur confie l’architecture énergétique du bateau. Décidé à mettre à l’honneur le savoir-faire des ingénieurs français, Victorien propose aussi à Florence de devenir la marraine du bateau, pour associer la puissance médiatique de Nicolas, à la connaissance scientifique de Florence, et ainsi donner une double légitimité au projet, qui en fera sa force.

Sortir les technologies des laboratoires

L’hydrogène est au cœur du projet Energy Observer. Le bateau couple différentes sources d’énergies renouvelables pour produire son propre hydrogène à partir de l’eau de mer et le stocker à bord : une première mondiale !
Pour réussir cette prouesse technologique, ce laboratoire flottant est équipé de deux éoliennes à axe vertical, d’une aile de traction intelligente, de plusieurs types de panneaux photovoltaïques répartis sur 130 m2 et de deux moteurs électriques réversibles en hydrogénérateurs. Cette architecture énergétique d’avenir, développée en collaboration avec le CEA-Liten, vise une navigation 100 % autonome en énergie, sans aucune émission de gaz à effet de serre ni particules fines. Puiser son énergie dans la nature, sans l’abîmer et sans la gaspiller, telle est la vision du futur d’Energy Observer.
 
« L’énergie vit aujourd’hui une véritable révolution en intégrant de plus en plus d’énergie renouvelable avec des vecteurs différents : électricité, hydrogène, chaleur. Il
 y a de vrais challenges techniques pour connecter ces flux et c’est encore plus ambitieux à l’échelle d’un bateau. Ainsi, Energy Observer est une préfiguration de ce que seront les réseaux énergétiques sur Terre demain. » selon Florence Lambert, Directrice du CEA-Liten.
 
La révolution hydrogène, pourquoi ne pas y avoir pensé plus tôt ? Face à l’impérieuse nécessité de réduire les rejets de gaz à effet de serre pour lutter contre le réchauffement climatique, le développement des énergies renouvelables s’impose comme la voie à suivre. Cependant, celles-ci étant par essence variables et intermittentes, elles exigent de développer et d’optimiser les moyens de stockage de l’énergie. Parmi eux, l’hydrogène (H), démontre chaque jour un peu plus son immense potentiel comme voie de stockage et de valorisation des énergies renouvelables. Encore peu utilisé, c’est pourtant un vecteur énergétique d’avenir, une ressource inépuisable,substitut possible aux hydrocarbures. Son potentiel a notamment fait écrire à Jeremy Rifkin que l’hydrogène est l’une des composantes de la troisième révolution industrielle.
Sur Terre, l’hydrogène n’existe que très peu à l’état pur, et est généralement couplé à d’autres éléments. Pour l’obtenir, il nécessite un procédé d’extraction impliquant donc une consommation énergétique. Actuellement, 95% de l’hydrogène produit industriellement, l’est à partir d’énergies fossiles, raison pour laquelle son déploiement à grande échelle tant dans les usages industriels qu’individuels nécessite encore des efforts de recherche et développement. De plus, l’hydrogène est un gaz qui occupe un volume important dans les conditions de pression standard ; pour le stocker et le transporter efficacement, il faut parvenir à réduire ce volume. Il est donc indispensable de développer les technologies qui permettent sa compression et sa production de manière décarbonée, le tout à moindre coût pour en faire un vecteur énergétique d’avenir.
 
C’est dans cette démarche de recherche et développement que s’inscrit le projet Energy Observer, avec pour ambition de devenir le premier navire au monde capable de produire son propre hydrogène à bord par électrolyse, à partir de l’eau de mer, grâce au couplage des énergies renouvelables. Prouver les performances de l’hydrogène, mettre en avant ce modèle comme alternative aux énergies fossiles, démontrer que l’autonomie énergé- tique est possible et permettre aux données collectées d’être exploitées pour de multiples usages mobiles ou stationnaires, telle est la mission de ce laboratoire des énergies du futur.
« Energy Observer est la parfaite démonstration que l’hydrogène permet d’intégrer les énergies renouvelables dans notre quotidien. En faisant le tour de la terre avec 100% d’énergies renouvelables stockées à bord sous forme d’hydrogène, ce navire réalise une première mondiale et ouvre les portes d’une nouvelle ère sans énergies fossiles. L’hydrogène, c’est du vent et du soleil stockés pour alimenter, en continu, nos moyens de transport, nos maisons, nos bureaux. » selon Pascal Mauberger, Président de l’Afhypac qui soutient le projet.
 
« Au XVIème siècle, les Christophe Colomb, Vasco de Gama et autres grands navigateurs exploraient de nouvelles voies et découvraient de nouvelles terres. Aujourd’hui, Energy Observer est un superbe vaisseau pour montrer la voie vers un monde plus propre, où les énergies renouvelables seront pleinement valorisées et où l’hydrogène aura toute sa place aux côtés d’autres vecteurs énergétiques. » déclare Philippe Boucly, 1er Vice-Président de l’Afhypac.

Une fenêtre sur le futur

Tout au long des 6 ans et de ses 101 escales, Energy Observer aura pour vocation de devenir une plateforme de production de contenus audiovisuels immersifs et innovants, au service des solutions pour un futur plus propre et plus responsable. Sa mission : aller au-devant de notre avenir et de ceux qui œuvrent pour le rendre meilleur, pour valoriser à la fois l’homme et la technologie. Un tour du monde pour constituer une collection de documentaires dans la lignée de ceux de Jacques-Yves Cousteau ou Nicolas Hulot, mais cette fois-ci en utilisant la réalité virtuelle et augmentée, l’immersion à 360°, le son 3D, et le live interactif…
Réalisés en collaboration avec des chaînes médiatiques françaises et internationales, pour faire d’Energy Observer un véritable media du futur et pour le futur : une plateforme digitale collaborative, interactive et transmedia, destinée à tester les nouveaux matériels de production audiovisuels, pour parler du quotidien à bord, du voyage, des rencontres, et des innovations de demain. S’engager dans la transition écologique par le rêve, le challenge et l’espoir, voilà l’ambition de ces explorateurs du futur.
 

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Energy Observer, de bateau légende à Calypso du XXIème siècle

Energy Observer a d’abord été un compétiteur de renom. Construit en 1983 au Canada, recordman du Trophée Jules Verne, l’ancien Formule TAG a été le premier voilier à franchir la barre symbolique des 500 milles en 24 heures. Depuis 2015, c’est une équipe de près de 50 personnes, composée de navigateurs, d’architectes et d’ingénieurs partout en France, qui travaille sur le reconditionnement de ce catamaran de plus de 30 mètres de long et de 12,80 mètres de large.
Parrainé par Nicolas Hulot et Florence Lambert, directrice du CEA-Liten, ce vaisseau du futur aura également pour vocation de devenir un véritable média hyper connecté et innovant, délivrant une information positive et inspirante : une Calypso du XXIème siècle, au service d’un futur plus respectueux de l’Homme et de son environnement.
Réduire l’impact de l’activité humaine sur la planète, trouver des solutions innovantes, performantes et adaptées au monde moderne, pour nous engager dans la transition énergétique, par le rêve, le défi et l’espoir : voilà toute l’ambition d’Energy Observer.
 
« L’Homme a toujours eu pour habitude de partir en expédition pour conquérir les territoires et s’en approprier les richesses. Avec Energy Observer, nous voulons lancer une grande expédition du XXIème siècle, mais cette fois-ci pour découvrir les hommes qui s’engagent pour la planète et partager les connaissances » a déclaré Jérôme Delafosse,Chef d’expédition.
 
Une quinzaine d’entreprises et institutions, dont AccorHotels et Thélem assurances, partenaires principaux du projet, ainsi que l’Unesco ont permis de démarrer la construction de ce navire du futur made in France.
 
« L’entreprise tout entière va soutenir cette expédition, qui nous passionne parce qu’elle combine innovation, performance et responsabilité sociale et environnementale. Ce projet entre en totale résonnance avec des préoccupations de Thélem, comme le changement climatique, risque majeur pour l’assureur mutualiste que nous sommes, et la recherche de solutions nouvelles pour transformer l’entreprise au service de nos sociétaires. » Daniel Antoni,Directeur général de Thélem assurances.
 
« Energy Observer est une épopée pleine de promesse qui va contribuer à mettre AccorHotels en mouvement. Chaque année, le Groupe consomme plus de 400 millions d’euros d’eau et d’énergie. Si nous avons réussi à réduire cette consommation de 7 % en cinq ans, nous devons aller plus loin et notre partenariat avec Energy Observer et le CEA Tech va nous y aider. En s’engageant aux côtés d’Energy Observer, AccorHotels réaffirme son ambition d’être pionnier de la transition énergétique dès aujourd’hui. Avancer plus vite dans la recherche des énergies nouvelles, propres et durables, tel est l’objectif de ce partenariat de compétences. »
déclarait Sébastien Bazin,Président directeur général d’AccorHotels.
 
Pour atteindre ses objectifs et être accompagné dans cette incroyable odyssée, Energy Observer continue de rechercher activement des partenaires financiers dans un esprit partagé d’innovation, d’exploration et de responsabilité sociale et environnementale.
 
 

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