Des expériences actuelles, notamment de l’équipe du prix Nobel de médecine 2008 Luc Montagnier, montrent que l’on peut « reconstituer » des éléments de structures biologiques, en l’occurrence des fragments d’ADN, par le biais d’ondes électromagnétiques « extraites » d’autres structures biologiques servant de références, révélant ainsi qu’il y a du « sens » dans la matière inerte, et que des ondes électromagnétiques en sont les vecteurs primordiaux puisque ce sont les seules à pouvoir traverser le vide quantique séparant les particules, atomes et molécules.
D’intenses activités de recherches concernant le patrimoine génétique, se poursuivent actuellement.
En ce début de troisième millénaire, elles permettent notamment de « formaliser » (de représenter) les structurations spatiales des molécules constituant l’ADN, et de « commencer à connaître » l’impact de ces molécules sur le développement et le comportement des individus.
Mais alors, qu’en est-il du langage génétique proprement dit, de sa mémorisation et de ses vecteurs primordiaux ?
Par bonheur, les récentes avancées en technologie informatique jettent un nouvel éclairage sur cette problématique. Nous savons ainsi que l’on peut numériser (et mémoriser) des informations et des interprétations de perceptions, donc du « sens », et les transmettre par le biais d’ondes électromagnétiques.
En conséquence, sachant,
– qu’il n’y a pas de contact physique absolu entre les états de la matière puisque les particules, les atomes et les molécules qui la constituent, sont séparés par le vide quantique,
– que des ondes électromagnétiques sont inexorablement associées à chaque constituant de la matière,
– que les directives génétiques à effets biologiques, ne sont pas altérées par la traversée des synapses, eux-mêmes formés de molécules (fait particulier et condition suffisante),
nous pouvons affirmer que des ondes électromagnétiques sont les vecteurs primordiaux du sens, car ce sont les seules entités capables de traverser tous les « vides ».
D’ailleurs, que le goût des aliments puisse être transmis aux papilles gustatives alors que les atomes et les molécules de celles-ci et des aliments, sont séparés par le vide quantique, l’atteste de manière patente.
Le langage génétique relève donc non seulement de l’interprétation des fréquences et des amplitudes de telles ondes, mais surtout de l’interprétation des interférences de celles-ci, interférences qui sont fonction de positions spatiales et de nano distances, à l’instar du langage humain qui nécessite l’interprétation de la position des lettres dans le mot, des mots dans la phrase et des phrases dans le discours.
Dès lors, nous comprenons mieux, et l’extrême richesse de ce langage bien qu’il n’ait comme « lettres de base » que quatre molécules azotées : Adénine, Cytosine, Guanine et Thymine, et hélas, l’impossibilité de connaître, en clair, les informations et les directives qu’il permet de transmettre.
Néanmoins, ces faits essentiels montrent, à l’évidence, que les molécules qui sont médicalement actives, le sont, en premier lieu, en raison des informations et des organisations de processus qu’elles permettent de mémoriser et de diffuser par le moyen d’ondes électromagnétiques spécifiques.
En outre, sachant qu’il est désormais possible d’enregistrer certains flux d’interférences de ces ondes, il n’est pas déraisonnable de croire que de tels enregistrements trouveront très prochainement des applications en médecine.
Paul Moyne, Géophysicien, spécialiste génie physico-chimique (selon sa Théorie déposée à l’Académie des Sciences Paris 2010 sous plis cacheté n° 17 958)
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