On reproche souvent à l’Etat son inaction climatique et environnementale, de même que l’on s’étonne que des décisions qui auraient dues être dictées par le principe le plus élémentaire de précaution — comme l’interdiction du glyphosate —, puissent être ajournées, temporisées, remises aux calendes grecques. C’est sans compter le poids
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